Coffret 3 pochettes de costume homme "Je vous trouve un charme fou"
Sous les tropiques

Inspiration

Profondeur
Ce carré de soie est directement inspiré d’une œuvre de l’artiste Caroline Basuyau qui s’intitule Le prophète. Il montre un superbe Orang outan femelle qui se déplace dans une forêt vierge luxuriante. Si à première vue, dans ce tableau, cette forêt parait vierge, elle n’est pas si dense en arrière-plan, elle montre une forêt dégradée, une végétation clairsemée. L’artiste tente de dénoncer l’emprise de l’homme sur la nature, la destruction de la forêt primaire au profit de productions agricoles plus lucratives… Pour cette pochette, nous avons extrait les éléments végétaux de l’œuvre initiale pour reconstruire cet élégant carré de soie 30 x 30 cm.

Espiègle
Cette pochette de soie est inspirée d’une œuvre de Caroline Basuyau, elle montre trois toucans qui communiquent entre eux, c’est l’euphorie, il y a du bruit partout. L’utilisation d’une large gamme de bleu et en arrière plan, les points blancs sur fond bleu sont là pour nous indiquer la temporalité de la scène, sans doute le crépuscule, cette période « entre chien et loup » quand les uns se couchent et les autres se lèvent, ce moment étrange où tout peut arriver. Il y a souvent une forme d’appréhension à l’arrivée de la nuit, très souvent les enfants sont énervés, ils chahutent… Puis plus rien, le silence, le repos.
En arrière plan, le motif de fond avec des fleurs polynésiennes est une récurrence des œuvres de Caroline Basuyau, c’est l’affirmation d’un ancrage profond à ces territoires faits d’îles exotiques et paradisiaques.

Théâtre de nuit N°5
Caroline BASUYAU propose un voyage dans l’intimité à travers cette œuvre extraite d’un ensemble de vingt toiles qui montre une forêt de nuit.
Dans l’œuvre globale on peut découvrir des communautés d’oiseaux qui interagissent, tout est bruit et mouvement. Tous les volatiles se répondent et on peut aisément imaginer le cheminement de la communication de chacun. Dans cette cacophonie nocturne, le tableau N°5 est un des seul à proposer un aparté, il montre entre autre deux perroquets qui se blottissent l’un contre l’autre, comme s’ils voulaient se mettre à distance du groupe, se trouver un territoire à eux, un foyer pour partager leurs sentiments amoureux à l’écart du monde. C’est une analogie implicite de notre société où le périmètre de l’intime se réduit au profil de l’espace commun, où l’hyper-communication brouille nos sens et nos émotions jusqu’à nier toute véritable singularité.

Suggestion de présentation.